Chaque candidat, à commencer par Christian Estrosi, met au niveau du « caniveau » les propos de ses adversaires, quand il les juge hors du champ d’une campagne électorale normale. Dans cette campagne électorale, nous sommes désormais à l’étape qui suit le caniveau, c’est-à-dire à l’égout. Moins celui des eaux usées et de la boue fétide que celui du ridicule absolu, plus redoutable encore.
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« Quo non descendamus ? *» Jusqu’où descendrons-nous ? Cette formule peut s’appliquer à la présente campagne électorale, où les candidats majeurs, pressentant une lutte de plus en plus serrée à l’arrivée, font assaut de démagogie, en descendant par là de plus en plus bas.
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Il faut non seulement ratisser large, mais aller chercher les voix dans les plus modestes et les plus obscurs recoins de l’électorat. Il ne suffit plus de d’acheter des tomates au Marché Saint Roch, de boire un pastis au bar du Coin et manger une portion de notre traditionnelle socca au cours Saleya, car tous nos candidats s’y pressent et parfois même s’y croisent.
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Il faut y organiser le parcours de chacun. Chacun se cherche son créneau particulier. Il faut faire avec ce qu’on a, voire transformer ses handicaps en avantages. Christian Estrosi a certes échoué dans sa tentative de miracle du premier tout gagnant avec l’avion à 138000,00 euros; mais il ne renonce pas pour autant à croire aux miracles. Depuis, on le voit souvent du coté de Sainte Rita. Mais ne soyons pas médisant….
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Moi, je voterais pour Christian Estrosi car il s'intéresse beaucoup aux moyens de transport. Bien sûr il ne connaît pas encore les prix mais il s'implique personnellement dans les tests comparatifs.
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Ségurano
Ségurano
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