Monsieur Christian Estrosi nous a donné, en refusant le débat de la chaîne i télévision, une très belle leçon de démocratie.
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De la part d’un ministre, membre du gouvernement cette attitude est pour le moins surprenante et carrément inadmissible. En dépit des propositions insistantes qui lui ont été faites, il a dédaigné débattre sur le fond.
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Mais il faut rappeler que Monsieur Patrick Allemand avait, lui aussi, refusé un débat en octobre dernier sur la chaîne régionale Fr3. Ce débat devait l’opposer à Monsieur Patrick Mottard, candidat à l’élection municipale. A partir de ce moment l’indignation de Monsieur Patrick Allemand n’est plus trop crédible. D’ailleurs le fait que Monsieur Patrick Allemand accepte un débat sans les autres candidats est inquiétant.
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Pendant le « face à face », Patrick Allemand et Jacques Peyrat, vont involontairement faire « cause commune » contre le Président du Conseil Général. « - Le bilan du Maire sortant est contrasté … », dira Patrick Allemand. Ses paroles ne percutent pas et manquent de conviction. Même s’il égratigne Jacques Peyrat sur les dossiers litigieux l’usage d’un ton soft ne donne pas le sentiment que Jacques Peyrat soit l’ennemi à abattre, bien au contraire, Jacques Peyrat en devient presque sympathique.
Monsieur Estrosi lui, surfe sur la même vague que son ami président. Celle de la forme et de l’illusion confortée en cela par la puissance de l’appareillage UMP qui lui permet d’occuper de manière trop visible et trop insistante l’espace médiatique.
Pendant le « face à face », Patrick Allemand et Jacques Peyrat, vont involontairement faire « cause commune » contre le Président du Conseil Général. « - Le bilan du Maire sortant est contrasté … », dira Patrick Allemand. Ses paroles ne percutent pas et manquent de conviction. Même s’il égratigne Jacques Peyrat sur les dossiers litigieux l’usage d’un ton soft ne donne pas le sentiment que Jacques Peyrat soit l’ennemi à abattre, bien au contraire, Jacques Peyrat en devient presque sympathique.
Monsieur Estrosi lui, surfe sur la même vague que son ami président. Celle de la forme et de l’illusion confortée en cela par la puissance de l’appareillage UMP qui lui permet d’occuper de manière trop visible et trop insistante l’espace médiatique.
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La démocratie avait tout à gagner de ce débat d’idée qui aurait permis aux Niçois de se forger une opinion avant le 1er tour. Tout au moins si tous les candidats étaient présents.
La démocratie avait tout à gagner de ce débat d’idée qui aurait permis aux Niçois de se forger une opinion avant le 1er tour. Tout au moins si tous les candidats étaient présents.
Ségurano
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