Pendant que les chinois exterminent le peuple Tibétain sous l’indifférence quasi générale des dirigeants de notre pauvre monde, nos politiques n’ont, eux, qu’un seul souci en tête : « le recours ».
Le résultat des élections municipales et cantonales de la semaine dernière nous donnent droit chaque jour à des ultimes rebondissements.
Les perdants veulent être les gagnants, même si avant, ils savaient qu’ils seraient les perdants.
Comme dans les feuilletons que la télévision française nous impose chaque soir, il y a toujours un inévitable rebondissement. Un nouvel épisode va se tourner cette fois ci dans les décors poussiéreux du tribunal administratif.
Un maire sortant est redevenu le maire entrant, un président du conseil général est réélu à sa propre succession, même si le cumul des mandats le lui interdit.Eclats de voix, protestations, recours et contre recours.
Nous avons eu droit à des déclarations sulfureuses, outrées et drapées dans un honneur sois disant bafoué. Des irrégularités auraient été constatées par ici ou par la parait il. C’est la cause des mauvais perdants qui, battus, essaient de rallumer les feux de la rampe.
La « tribunalisation » des résultats électoraux suit son cours et se propage comme une grave infection. Ambiance malsaine…
Mais pendant que résonnait l’écho du canon de midi, en ce vendredi saint, sur le cours Saleya, El Libertador ouvrait la procession dans un mistral glacial.
Le résultat des élections municipales et cantonales de la semaine dernière nous donnent droit chaque jour à des ultimes rebondissements.
Les perdants veulent être les gagnants, même si avant, ils savaient qu’ils seraient les perdants.
Comme dans les feuilletons que la télévision française nous impose chaque soir, il y a toujours un inévitable rebondissement. Un nouvel épisode va se tourner cette fois ci dans les décors poussiéreux du tribunal administratif.
Un maire sortant est redevenu le maire entrant, un président du conseil général est réélu à sa propre succession, même si le cumul des mandats le lui interdit.Eclats de voix, protestations, recours et contre recours.
Nous avons eu droit à des déclarations sulfureuses, outrées et drapées dans un honneur sois disant bafoué. Des irrégularités auraient été constatées par ici ou par la parait il. C’est la cause des mauvais perdants qui, battus, essaient de rallumer les feux de la rampe.
La « tribunalisation » des résultats électoraux suit son cours et se propage comme une grave infection. Ambiance malsaine…
Mais pendant que résonnait l’écho du canon de midi, en ce vendredi saint, sur le cours Saleya, El Libertador ouvrait la procession dans un mistral glacial.
a
Ségurano
1 commentaire:
J'aime bien Bayrou mais je le trouve ridicule dans sa volonté de faire annuler le vote à Pau.
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